lundi 29 septembre 2008
Moraliser le capitalisme
Nos chers comiques croupiers bien pensants, sociaux-déconnocrates ou démocrates-crétins nous parlent la main sur leur vertu, de moraliser le capitalisme, de le réguler par des principes, de le soumettre à des règles et lois.... Alors que, paradoxe apparent, le capitalisme n'obéit qu'à la seule loi qui est celle de son développement et de sa survie. Le capitalisme peut être comparer à un organisme vivant, il prend la nourriture, non seulement dont il a besoin mais celle qu'il désire; étant assez goinfre, ses excréments sont en proportion, déchets humains, déchets écologiques... Le capitalisme n'obéit pas aux lois de la jungle, il est une jungle! Jungle de nature cancéreuse, sans cytoplasme, qui peut recouvrir notre petite planète entière et la détruire, faute d'expansion possible! Ce qui caractérise une jungle est entre autre son aspect luxuriant en apparence et l'amoncèlement de déchets et de pourriture qui lui servent d'assises. Une "chose" telle que le capitalisme, ne se jugule pas, n'est pas soluble dans des notions de "bien et mal", soit nous la détruisons, la désintégrons, la napalmisons, avec pour seule éthique la volonté de la détruire quels que soient les dommages collatéraux, soit nous faisons "avec", nous nous comportons en parasites du système, tartuffes moralistes, profitant du jour d'hui sachant au fond qu'il n'existe qu'un No future!
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1 commentaire:
Ou bien on rajoute un taux de « volatilité » du marché et de la valeur indiquant sont rapport à la véritable économie. Et là…ceux qui achètent, jouent et s’enjouent de la chose en période d’euphorie cesseront de pleurnicher dés que la crise fut venue.
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